Vous saviez déjà que les enfants sont nuls à cache-cache. Vous auriez pu penser que les animaux se rattrapent avec leur morphologie, peaux de caméléon et autres méthodes de survie que leur a offert la nature, mais il n’en est rien. Les animaux sont juste des brêles à cache-cache.
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- “Comme ça je devrais échapper à mon bain”
- “Je crois qu’on m’a grillé”
ADVERTISEMENT - “Et si je me cache les yeux tu me vois encore ?”
- “Comme ça je devrais échapper à mon bain”
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- “Je maudis les soirées télé”
Le caméléon
- “Woups”
- “Merde, je me suis un peu trop bien caché… quelqu’un ?”
- “Surtout … ne pas … respirer …”
- Obligé de porter un collier moche pour qu’on le repère.
- Y’a une idée mais … non.
- Vous avez trouvé lequel est vrai ?
- Comment planquer un rongeur au bureau :
- “Foutue boîte transparente !”
- “Moi à part m’incruster parmi la déco j’ai rien trouvé d’autre”
- “Ils sont pas un peu vieux vos rideaux ?”
- “Je suis quand même hyper malin”
- “Je suis caché Pat’…”
- “…Moi aussi Bob”
- “Et les mains, j’en fais quoi des mains ?”
- En fait le photographe est juste super nul pour bien cadrer.
- Pas mal l’idée (mais non)
- “Cette partie de cache-cache dans les bois est vraiment pourrie”
- Ok celui là est un peu chaud :
On espère que vous les avez tous trouvés, sinon il est grand temps de consulter.
Bonus
Ouvrir la porte. Fermer la porte. Ré-ouvrir la porte. Menacer de rationner les croquettes s’il continue à vous emmerder. Tous les propriétaires de chats ont déjà vécu cette situation parce que oui, nos amis les félins sont du genre indécis lorsqu’il s’agit de sortir ou non. Du coup on ne s’en voudra pas de rire un peu en les voyant poireauter devant l’entrée.
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- Ouvre s’il te plaît.
- Je te vois rire d’ici, abruti !
- Je suis sur le point de craquer (et tu n’as pas envie de voir ça).
- Je suis tristesse. Pire, je suis désespoir.
- Et puis ne fais pas comme si tu étais en train de cuisiner. Pas à moi.
- Ouvre s’il te plaît.
- J’espère pour toi que tu as une bonne police d’assurance vie.
- Laisse moi entrer humain. MAINTENANT.
- J’ai froid. Je meurs lentement. Je vois une lumière vive au bout d’un long tunnel.
- Pourquoi ?
- J’agonise.
- Non, sans déconner, ouvrez-moi, ça craint ici…
- Très bien. Sache que je peux rester assis là toute la journée.
- Attend, pourquoi il a le droit d’entrer lui ?
- C’est à cette heure-ci que tu rentres ?
- Tu vois à quoi j’en suis réduis ?
ADVERTISEMENT - M’en fous je rentre.
- Prépare toi.
- Si je me concentre suffisamment je peux sûrement te faire exploser par le pouvoir de la pensée.
ADVERTISEMENT - De toute façon tu ne peux plus sortir maintenant. On t’attend en bas de chez toi.
- Une dernière volonté ?
Sans rancune les chats ! On vous aime quand même.